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Catalan to French: Declaració d'intencions de la directora de la pel.lícula General field: Art/Literary Detailed field: Cinema, Film, TV, Drama
Source text - Catalan L'objectiu de fer cinema
Penso que el cinema és una de les millors eines que existeixen per intentar comprendre com sóm els homes i les dones. Allà on el llenguatge s'expressa amb torpesa i inconcreció, el cinema pot ser precís, exacte. Això no vol dir que revel•li amb claredat el misteri de l'ànima humana. Ans al contrari; al meu parer, el reforça. Però això ens fa ser més conscients de la nostra complexitat, incoherència i, en definitiva, humanitat.
Sota el meu punt de vista, el cinema no capta automàticament els misteris dels protagonistes (tampoc el documental), sinó que necessita el cineasta com a intermediari. Si aquest no té un punt de vista fort, radical, a nivell de contingut però també formal, el públic trobarà més interessant asseure's en un banc a mirar la gent que passa que veure la seva pel•lícula. Per tant, opino que el director de documentals ha de prendre un paper molt estricte en la tria de tots els elements que formen part de la pel•lícula, tant o més que un cineasta de ficció.
Tinc aquestes dues inquietuds: comprendre com és la gent que m'envolta, i prendre un paper molt actiu com a cineasta. Aquests neguits són potser els que m'han configurat fins ara en aquesta professió. Sempre he treballat amb personatges i elements de la realitat, normalment molt propers a mi, a través d'una feina constant de guió i cerca formal. Ja va ser així amb L'avi de la càmera (fent una pel•lícula amb la meva pròpia família) i amb Immersió (rodada a la piscina on vaig aprendre a nedar). Ara també em passa el mateix amb La Plaga, una pel•lícula sobre la gent que habita a la perifèria de Barcelona, exactament el lloc on jo vaig néixer. Aquest punt de partida, tant bast i proper, ha necessitat dos anys de desenvolupament per convertir-se en una idea prou senzilla i exacta com per poder-se rodar.
Translation - French Le but de faire du cinéma
Je pense que le cinéma est un des meilleurs outils qui existent pour essayer de comprendre comment sont les hommes et les femmes. Là où le langage s’exprime d’une façon maladroite et pas concrète, le cinéma peut être précis, exact. Cela ne veut pas dire qu’il dévoile clairement le mystère de l’âme humaine, mais au contraire, selon moi, il le renforce. Mais cela nous aide à être plus conscients de notre complexité, de nos incohérences et, en définitive, de notre humanité.
De mon point de vue, le cinéma ne capte pas automatiquement les mystères des protagonistes (le documentaire non plus), mais il a besoin du cinéaste comme intermédiaire. Si celui-là n’a pas un point de vue fort, radical, pas seulement au niveau du contenu mais aussi au niveau formel, le public trouvera plus intéressant de s’asseoir sur un banc pour observer les passants que de regarder son film. Par conséquent, je pense que le metteur en scène d’un documentaire doit être très strict quand il choisit tous les éléments qui composent un film, aussi strict, voir encore plus qu’un metteur en scène d’un film de fiction.
J’ai ces deux inquiétudes : comprendre comment sont les gens qui m’entourent et avoir un rôle très actif comme cinéaste. Ces inquiétudes sont, peut être, ce qui m’a donné forme dans ce métier. J’ai toujours travaillé avec des personnages et des éléments de la réalité, en général très proches de moi, grâce à un travail constant de scénario et recherche formel. C’était ainsi dans Le grand-père de la caméra (un film fait avec ma propre famille) et dans Immersion (tournée à la piscine où j’appris à nager). Aujourd’hui il m’arrive la même chose avec Le fléau, un film sur les gens qui habitent dans les banlieues de Barcelone, là où je suis née. Ce point de départ, si large et proche, a eu besoin de deux ans de développement pour devenir une idée simple et concrète qui puisse être tournée.
Spanish to French: Séquencier du film General field: Other Detailed field: Cinema, Film, TV, Drama
Source text - Spanish 5. Villapaz y sus alrededores. Ext. Día
Villapaz y sus alredores / Víctor albañil – Biografía del director
En la imagen:
El pueblo de Villapaz con sus calles despavimentadas, las casas de colores, los solares en donde se siembran hortalizas y se tienen gallinas, pavos, perros y gatos; el cacao que seca en los techos y antejardines; el fogón de leña en las terrazas; las jaulas con los pericos. Los árboles de naranja. Las mujeres que cocinan y lavan la ropa a mano. Los caballos que tiran carretas con limones y plátanos; los burros cansados, cargados de costales. El polvo en el ambiente que vuelve difusa la imagen. Las iglesias católica, evangelistas, israelita y de Testigos de Jeová.
Los campos de caña de azúcar que se pierden en el infinito. El trabajo repetido, mecánico y agotador de los corteros. Las pieles negras, el sudor; los machetes, los sombreros y las pañoletas rojas que cubren sus cuellos.
Las pequeñas fincas, al sur de Villapaz, con parcelas de arroz, cultivos de plátano, naranja, cacao, zapote, zapallo.
Víctor trabajando en construcción: Víctor rompe pisos, mezcla cemento con agua, revisa el nivel del suelo, pega baldosas. Está en ropa de trabajo (camiseta y sudadera manchadas con pintura). Gotas de sudor resbalan por su cara. Lo vemos intercambiando con la dueña de la casa (su empleadora).
En el sonido:
Los ambientes de las imágenes que vemos, mezclados a la voz en off de Víctor.
Víctor habla de los estudios que ha hecho y del interés por diferentes prácticas artísticas. Cuenta que al salir de bachillerato hizo algunos cursos de construcción en el SENA de Jamundí.
Dice que nadie en su familia es artista. La primera afición de la que él tiene memoria es la escritura. “De niño escribí mucho y sigo escribiendo. Desde que estaba en el colegio soñaba con ver en la pantalla lo que escribía, verlo en video, en forma visual”. La pintura también fue una afición temprana.
Cuenta que comenzó a filmar hace cuatro años, gracias a un celular de segunda que compró. “Compré el celular trabajando en la construcción. Fue en el 2008, uno modelo Black Safiro. Cuando me di cuenta de que podía hacer video, grabé a mi papá cantando, ésa es una afición de mi papá y mi hermano también la heredó. A pesar de que se veía un poco borroso fue a partir de ahí que empezamos a grabar Amor sin perdón”.
Víctor habla de sus otros trabajos: la construcción, el trabajo en los campos de caña de azúcar que realizó recién salió de bachillerato. Estas dos actividades son las fuentes principales de ingreso para los hombres de Villapaz. Dirá que, sin embargo, el mayor problema en el pueblo es el desempleo. A pesar de que la industria cañera se incrementó desde mediados de los 90, no hay empleo para todo el mundo. Y la gente que antes vivía de lo que cultivaba en sus parcelas, con el monocultivo de la caña ya no tiene de qué vivir si no es como empleado en alguna parte o como trabajador independiente. La caña de azúcar es propiedad de los grandes ingenios nacionales; en cambio las pequeñas parcelas de arroz son propiedad de los habitantes del corregimiento.
Translation - French 5. Villapaz et ses alentours. Ext. Jour
Villapaz et ses alentours / Victor le maçon - Biographie du réalisateur
L'image:
Le village de Villapaz et ses rues sans goudron, ses maisons colorées, ses terrains où on plante les légumes et où on élève des poules, des dindes, des chiens et des chats; le cacao qui sèche sur les toits et les porches ; le fourneau à bois sur les terrasses ; les cages à perruches. Les orangers. Les femmes qui cuisinent et lavent les habits à la main. Les chevaux qui tirent des charrettes de citrons et de bananes; les ânes fatigués, chargés de sacs. La poussière qui rend l'image floue. Les églises catholiques, évangélistes, israélites, et celles des Témoins de Jéhovah.
Les champs de canne à sucre qui se perdent dans l'infini. Le travail répétitif, mécanique et épuisant des coupeurs de canne à sucre. Les peaux noires, la sueur; les machettes, les chapeaux et les foulards rouges qui couvrent leurs cous.
Les petites fermes au sud de Villapaz avec des parcelles de riz, des cultures de bananes, d’oranges, de cacao, de sapotilles et de courges.
Victor travaille dans le bâtiment : il ajoute de l'eau au ciment, il vérifie le niveau du sol, il fixe les carreaux. Il porte son uniforme de travail (T-shirt et pull tâchés de peinture). Des gouttes de sueur tombent sur son visage. On le voit en train de discuter avec la propriétaire de la maison (sa patronne).
Le son:
L'ambiance de la séquence et la voix off de Victor.
Victor parle des études qu'il a faites et de son intérêt pour plusieurs pratiques artistiques. Il raconte qu'après le lycée, il a suivi quelques cours de maçonnerie au SENA (Service National d'Apprentissage) de Jamundí.
Il dit qu'il n'y a pas d'artiste dans sa famille. La première passion dont il se souvient c'est l'écriture. « Quand j'étais petit j'écrivais beaucoup, et je continue à le faire. Déjà au collège, je rêvais de voir ce que j'écrivais à l'écran, le voir en format vidéo ». Depuis tout petit il aime aussi la peinture.
Il raconte qu'il a commencé à filmer il y a quatre ans, grâce à un portable acheté d'occasion. « J'ai acheté le portable quand je travaillais dans le bâtiment. C'était en 2008, le modèle Black Safiro. Quand j'ai découvert que je pouvais faire des vidéos, j'ai filmé mon père en train de chanter, il aime particulièrement ça, tout comme mon frère. Même si l'image était un peu floue, c’est à partir de là qu’on a commencé à tourner Amor sin perdón (Amour sans pardon) ».
Victor parle de ses autres travaux : le bâtiment, le travail dans les champs de canne à sucre après le bac. Ces deux activités sont la source principale de revenus des hommes de Villapaz. Il dit pourtant que le principal problème dans le village est le chômage. Même si l'industrie de la canne à sucre s'est développée depuis les années 90, il n'y a pas de travail pour tout le monde. Et les gens qui vivaient de ce qu'ils cultivaient sur leur parcelle ne peuvent pas vivre aujourd'hui s'ils ne sont pas employés quelque part ou indépendants. La canne à sucre est la propriété des grands entrepreneurs, alors que les petites parcelles de riz sont la propriété des habitants du bourg.
French to Spanish: Convention de coproduction entre Le-Lokal Production et la société Fosfenos Media General field: Law/Patents Detailed field: Law: Contract(s)
Source text - French CONVENTION DE COPRODUCTION
ENTRE LES SOUSSIGNES
La Société LE-LOKAL production
au capital de 9000 euros, immatriculée sous le N° 449 452 846 000 32, APE 5911A,
dont le siège social est situé : Parc technologique du Canal, 14 avenue de l'Europe
31520 Ramonville Saint Agne /France
représentée par Philippe Aussel, son Gérant
ci-après dénommée "le Producteur délégué "
d'une part,
ET
La Société FOSFENOS MEDIA
au capital ???? immatriculée???
Ayant son siège social à Calle 25 N°127 220 Cali /Colombie
Représentée par XXXX , Gérant ?,
ci-après dénommée “ le Co-producteur”
d'autre part,
ETANT PREALABLABLEMENT EXPOSE CE QUI SUIT:
LE-LOKAL production et FOSFENOS MEDIA se sont rapprochés pour coproduire une OEUVRE cinématographique de long métrage dont les caractéristiques sont les suivantes :
• Genre: DOCUMENTAIRE DE CREATION
• Titre (définitif ou provisoire) : “LE REALISATEUR “
• Auteur-Réalisateur : Maria Isabel Ospina Delos Rios
• Durée : 52 mn
• Thème : Víctor González est un jeune afro-colombien, coupeur de canne à sucre, maçon, qui découvre, le cinéma avec son téléphone portable. Il met en avant la vie locale, dénonce les injustices et rend compte des traditions et des croyances de son village Villapaz. Les acteurs sont des voisins•
• Support de tournage : HD
• Support final : HD - DCP
• Date de livraison du DCP : fin 2013
Désignée ci-après sous l'expression "L’OEUVRE".
CECI EXPOSE, IL EST CONVENU ET ARRETE CE QUI SUIT :
ARTICLE 1 - OBJET DU CONTRAT
"le Producteur délégué et le Co-producteur ont convenu de coproduire l’ŒUVRE, selon les termes de la présente convention qui a pour but de définir les conditions dans lesquelles les deux parties participent à la coproduction, entendue comme :
. la préparation et la production de L'ŒUVRE dont les caractéristiques sont fixées ci-dessus jusqu'à l'établissement des versions définitives.
. le partage des recettes à provenir de l'exploitation de L'ŒUVRE.
ARTICLE 2 – DUREE
La présente convention prend effet à date de sa signature, elle durera aussi longtemps que l’ŒUVRE pourra être licitement exploitée pour le compte commun dans une quelconque de ses présentations ou versions et, en tout état de cause, pour la durée des droits d’auteur acquis ou à acquérir, y compris toute prorogation légale ou conventionnelle.
ARTICLE 3 – RESPONSABILITE DE LA PRODUCTION
"le Producteur délégué et le Co-producteur conviennent expressément que leur collaboration n’est en aucune façon constitutive d’une société en nom collectif. De ce fait, ils décident de soumettre les conditions de cette collaboration aux seules dispositions de la présente convention.
Translation - Spanish CONVENIO DE COPRODUCCIÓN
Que celebran
Por una parte la sociedad LE-LOKAL Production, con un capital de 9000 euros, con el número de matrícula 449 452 846 000 32, APE 5911A, con sede social en el Parc technologique du Canal, 14 avenue de l'Europe 31520 Ramonville Saint Agne /Francia, representada por el señor PHILIPPE AUSSEL, en su carácter de GERENTE, a quien en lo sucesivo de le denominará “EL PRODUCTOR DELEGADO”
Y por la otra parte la sociedad FOSFENOS MEDIA, con sede social en la Calle 25 N°127 220 Cali /Colombia, representada por _____________________ en su carácter de GERENTE (?), a quien en lo sucesivo se le denominará “EL COPRODUCTOR”;
Al tenor de las declaraciones y cláusulas siguientes:
DECLARACIONES
LE-LOKAL Production y FOSFENOS MEDIA coproducirán un largometraje cinematográfico con las características siguientes:
Género: DOCUMENTAL DE CREACIÓN
Título (definitivo o provisional): “LE RÉALISATEUR”
Autor-Director: María Isabel Ospina Delos Ríos
Duración: 52 m.
Tema: Víctor González es un joven afrocolombiano, cortero albañil, que descubre el cine con su teléfono móvil.
Muestra la vida local, denuncia las injusticias y expone las tradiciones y creencias de su pueblo, Villapaz. Los actores son los vecinos.
Soporte de grabación: HD
Soporte final: HD – DCP
Fecha de entrega del DCP: finales de 2013
A quien en lo sucesivo se le denominará “LA OBRA”
Expuesto lo anterior, las partes celebran el presente contrato al tenor de las siguientes:
CLÁUSULAS
PRIMERA.- OBJETO DEL CONTRATO: El productor delegado y el coproductor han convenido de coproducir la OBRA, según los términos del presente convenio cuyo objetivo es definir las condiciones en las que las dos partes participan a la coproducción, entendida como:
- la preparación y producción de la OBRA, cuyas características son las expuestas en el punto anterior hasta la elaboración de las versiones definitivas.
- el reparto de los ingresos fruto de la explotación de la OBRA.
SEGUNDA.- DURADA: El presente convenio toma efecto en la fecha de su firma, y durará todo el tiempo que la OBRA pueda ser explotada lícitamente para el provecho común en cualquiera de sus presentaciones o versiones, y en todo caso, por la durada de derechos de autor adquiridos o que se adquirirán, incluida cualquier prórroga legal o convencional.
TERCERA.- RESPONSABILIDAD DE LA PRODUCCIÓN: El productor delegado y el coproductor han convenido expresamente que su colaboración no constituye bajo ningún efecto una sociedad colectiva. Por consiguiente, han decidido llevar a cabo esta colaboración ateniéndose exclusivamente a las disposiciones del presente convenio.
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Translation education
Master's degree - Universitat Autònoma de Barcelona
Experience
Years of experience: 13. Registered at ProZ.com: Jul 2013.
English (Cambridge University (ESOL Examinations), verified) French to Catalan (Generalitat de Catalunya. Nivell Superior de Catal) English to Spanish (Cambridge University (ESOL Examinations)) English to Catalan (Cambridge University (ESOL Examinations))
Memberships
N/A
Software
Adobe Acrobat, DejaVu, Indesign, memoQ, Microsoft Excel, Microsoft Word, OmegaT, Subtitle Edit, Powerpoint, Trados Studio
Spanish and Catalan native speaker, translating from English and French.
I am currently working as a multimedia project coordinator/client solutions in a Global Language and Business solutions company in Barcelona, but I still complete some jobs as a freelance professional.
I have a Master's Degree in Audiovisual Translation, which includes dubbing, subtitling, deaf and hard-of-hearing subtitling (respeaking) and localization.
I am a serious, responsible and reliable professional, always giving the best of me to the client. I have always had good feedback from my previous clients, thanks to my engagement and high quality work.
I am strongly motivated and willing to work with you, so don't hesitate to contact me!
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